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baseruiop@yahoo.com

2017年03月10日

Elle sourit sac guess pas cher

Ne pense plus à lui, ma pauvre enfant ; c’est une folie ! dit gravement le docteur. Jamais madame de Portenduère, une Kergarouët, n’eût-elle que trois cents livres par an pour vivre, ne consentirait au mariage du vicomte Savinien de Portenduère, petit-neveu du feu comte de Portenduère, lieutenant-général des armées navales du roi et fils du vicomte de Portenduère, capitaine de vaisseau, avec qui  avec Ursule Mirouët, fille d’un musicien de régiment, sans fortune, et dont le père, hélas ! voici le moment de te le dire, était le bâtard d’un organiste, de mon beau-père montre guess soldes .  Ô mon parrain ! vous avez raison : nous ne sommes égaux que devant Dieu. Je ne songerai plus à lui que dans mes prières, dit-elle au milieu des sanglots que cette révélation excita. Donnez-lui tout ce que vous me destinez. De quoi peut avoir besoin une pauvre fille comme moi  En prison, lui !  Offre à Dieu toutes tes mortifications, et peut-être nous viendra-t-il en aide. Le silence régna pendant quelques instants. Quand Ursule, qui n’osait regarder son parrain, leva les yeux sur lui, son cœur fut profondément remué lorsqu’elle vit des larmes roulant sur ses joues flétries. Les pleurs des vieillards sont aussi terribles que ceux des enfants sont naturels.  Qu’avez-vous  mon Dieu ! dit-elle en se jetant à ses pieds et lui baisant les mains. N’êtes-vous pas sûr de moi   Moi qui voudrais satisfaire à tous tes vœux, je suis obligé de te causer la première grande douleur de ta vie ! Je souffre autant que toi. Je n’ai pleuré qu’à la mort de mes enfants et à celle d’Ursule. Tiens, je ferai tout ce que tu voudras, s’écria-t-il. À travers ses larmes, Ursule jeta sur son parrain un regard qui fut comme un éclair. Elle sourit sac guess pas cher .  Allons au salon, et sache te garder le secret à toi-même sur tout ceci, ma petite, dit le docteur en laissant sa filleule dans son cabinet. Ce père se sentit si faible contre ce divin sourire qu’il allait dire un mot d’espérance et tromper ainsi sa filleule. En ce moment madame de Portenduère, seule avec le curé dans sa froide petite salle au rez-de-chaussée, avait fini de confier ses douleurs à ce bon prêtre, son seul ami. Elle tenait à la main des lettres que l’abbé Chaperon venait de lui rendre après les avoir lues, et qui avaient mis ses misères au comble. Assise dans sa bergère d’un côté de la table carrée où se voyaient les restes du dessert, la vieille dame regardait le curé, qui de l’autre côté, ramassé dans son fauteuil, se caressait le menton par ce geste commun aux valets de théâtre, aux mathématiciens, aux prêtres, et qui trahit quelque méditation sur un problème difficile à résoudre. Cette petite salle, éclairée par deux fenêtres sur la rue et garnie de boiseries peintes en gris, était si humide que les panneaux du bas offraient aux regards les fendillements géométriques du bois pourri quand il n’est plus maintenu que par la peinture.


Posted by baseruiop@yahoo.com at 15:40│Comments(0)
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